Kathryn Delairme - Une femme qui a du goût__*

¤~New~¤ Nombre de messages : 5 Age : 32 Date d'inscription : 05/09/2007

I. Général
Nom : Delairme.
Prénom(s) : Kathryn, Miranda, Hope.
Surnom(s) : Ce n'est pas du tout le genre de Kathryn. Au diable les petits surnoms ! Si l'un de vous a le malheur de lui en trouver un, elle vous montrera de quel bois elle se chauffe...
Date et lieu de naissance : Kathryn est née le 16 décembre 1953, par une belle matinée d'hiver, à Paris (France).
Âge : Cinquante-quatre printemps.
Occupation : La mode.
Signe du zodiac : Sagittaire.
Origine(s) : Française par sa mère, anglaise par son père.

II. Personnalité

Goûts

Livre favoris : Les magasines de mode ? Kathryn n'est pas du genre à perdre son temps pour de la littérature ancestral...
Style musical préféré : Kathryn écoute peu, pour ne pas dire presque pas, de musique. Mais le classique serait le style le plus approprié.
Groupe ou chanteurs favoris : Souvent, afin de se détendre, elle se passe Wolfgang Amadeus Mozart, Jean-Sébastien Bach, ou encore Ludwig Van Beethoven.
Genre de film préféré : Kathryn n'a point de temps à consacrer à la cinématographie.
Film préféré : Aucun.
Ville préférée : Paris, sans aucuns doutes.
Pays préféré : La France, pardi !
Pièce d'un logement préféré : Son salon. Là où elle peut se détendre tout en travaillant (eh oui, elle ne chôme jamais).
Saison favorite : Toutes; les nouvelles modes font leur apparition avec l'arrivée d'une nouvelle saison, non ?
Couleur préférée : Aucune en particulier.
Look préféré : Le sien.

Caractère

Caractéristiques : Kathryn n’est pas une personne à proprement parlé de recommandable. Elle choisit de faire le mal pour le mal, gratuitement, et de le réaliser méthodiquement et avec froideur. Il n’y a pas un de ses gestes, une de ses actions qui ne soient dictées par un sombre dessein et il vaut mieux ne pas lui être redevable de quoi que ce soit car le prix à payer pourrait bien se révéler exorbitant. Au point même d’en souffrir moralement.
Dotée d’une intelligence hors normes, elle semble capable de deviner la moindre des pensées de ses interlocuteurs. Ne réside là dedans nulle magie mais simplement une aptitude hors du commun à juger ses semblables et à deviner les parties obscures que cachent leur âmes.
C’est une femme à la grande habilité. Elle sait mentir quand il le faut, et est franche, même peut-être un peu trop, envers les personnes qu’elle n’apprécie guère.
Froide et parfois arrogante, elle ne se laisse pas faire et encore moins marcher sur les pieds.
Trois qualités principales : Bosseuse, intelligente, stylée. C'est une femme de goût.
Trois défauts principaux : Sévère, cruelle et sans pitié.

Vision de la vie :

Ce qu'elle/il apprécie chez les gens :
Ce qu'elle/il ne supporte pas chez les gens :

III. Biographie
L’histoire des Delairme remonte aux fondements même de la nation française. A cette époque révolue où elle était encore puissante et crainte, la famille Delairme, comme elle était encore nommée alors, possédait l’un des plus grands duchés de France et régnait en maître sur le domaine de l'Aquitaine. Leur pouvoir leur provenait, croyait-on, de leur étroit lien avec la famille royale. En effet, bien que toujours dans l’ombre, les Delairme avaient une grande emprise sur les dirigeants du pays, les conseillant sur les décisions à prendre. Eminence grise du pouvoir, immensément riche, craint par tous, la famille Delairme cachait en réalité un incroyable secret : depuis toujours, elle arnaquait et menaçait, et c’est ce qui lui permettait de tenir les ficelles du pouvoir. L'un des premiers d'entre eux, Jonathan Delairme, est même soupçonné d’avoir tué le premier Roi de France.

Les Delairme auraient pu continuer leur ascension vers la gloire et la renommée éternelle si sur leur chemin, ils n’avaient pas rencontré ces maudits chiens galeux de la famille Sinclair. Au XVIème siècle, cette famille de malheur arriva en effet sur le territoire français et gravirent très vite les échelons jusqu’au pouvoir. Pas plus talentueux que les Delairme, les Sinclair avaient cependant un avantage de poids : la communauté politique française les soutenait, satisfaite de pouvoir se débarrasser de leurs sombres semblables. Et c’est ainsi que le duc de Sinclair parvint à convaincre le Roi de France de déposséder les Delairme de leurs terres et de leurs titres. Ils devinrent des moins que rien, des rebuts de la société qui n’avaient gardé de leur ancienne grandeur que l’orgueil, la haine des faibles, l’ambition mais aussi le courage et la volonté de redevenir grand par tous les moyens. La famille s’installa dans un petit cottage du Devonshire, dans le sud-ouest de l’Angleterre et on entendit plus parler d’elle pendant plus de trois siècles.

En réalité, loin de se morfondre, les Delairme, pendant ces trois cent ans d'exclusion, préparaient leur retour dans une haine profonde des Sinclair et de toute les grandes familles de la communauté politique qui les avaient trahis. Conscients qu'ils ne pourraient plus user de leurs manigances et de leur persuasion aussi librement et impunément qu'autrefois, ils décidèrent de redevenir une famille puissante honnêtement. Ou du moins, honnêtes à leur manière... Il leur fallut tout d’abord, afin de récupérer une place importante dans la société bourgeoise du XIXème siècle, acquérir à nouveau une immense fortune, puisqu’au XVIème, on les avait dépossédés de tout. Le chef de la famille Delairme mit alors en place un système aussi ingénieux que tout à fait illégal : les meilleurs d’entre eux s’introduisaient masqués et inconnaissables, par effraction dans les domaines des politiciens et volaient des reliques et tout autres objets de grande valeur. Puis, ils revendaient ces objets, toujours anonymement, à d’autres politiciens à prix d’or. Bientôt, ils firent également du recel d’objets d’art pour le compte des Anglais. Ces activités n’étaient sans doute pas dignes d’eux mais au moins avaient-elles l’avantage d’être extrêmement lucratives. Pour cacher l’origine de sa soudaine fortune, le duc Delairme (car pour eux, ils étaient toujours ducs et duchesses…) décida d’inventer l’existence d’un petit pécule qu’il aurait fait fructifier en investissant dans les chemins de fer. Il s’arrangea, en soudoyant un français, pour que son nom apparaisse sur les traites, contrats et autres papiers importants qui attestaient de son investissement et de ses bénéfices colossaux.

Et c’est ainsi que les Delairme revinrent en grâce aux yeux du monde politique qui à l’époque ne se souciait guère de la réputation et de l’histoire des familles du moment qu’elles étaient riches et pouvaient organiser réceptions sur réceptions. Seuls les Sinclair, comme toujours drapés dans leurs soucis de pureté, de bonté et d’honnêteté, soupçonnèrent quelque tractations illégales mais ne purent jamais formellement le prouver. Dans ce monde nouveau qui se voulait civilisé et pacifique, du moins en apparence, la compétition entre les familles ne devaient plus se compter en nombre de morts dans les duels politiques mais en nombre de pièces d’argent, d’amis hauts placés, d’enfants talentueux et de fêtes les unes toutes plus démesurées que les autres. La fin du XIXème et la majeure partie du XXème siècle furent donc une période bénie pour la famille qui, sans avoir cependant retrouvé sa grandeur du passée, était néanmoins riche et estimée dans tout le monde.

C’est au début des années 50 que le 20ème duc Delairme, Gaspard, rencontra celle qui devait devenir son épouse, Barbara, fille de Charles et Laura Martin, des bourgeois qui avaient fortune dans les meubles. Barbara était sans doute une des plus belles de femme de sa génération. De sa mère, elle avait hérité la fougue, les yeux verts aux reflets bleus et les cheveux roux flamboyants. De son père, l’humour, la vivacité d’esprit, la grande taille, et le sourire charmeur. Barbara était un subtil et explosif mélange de ces deux personnes et bon nombre d’hommes tombaient instantanément amoureux de la jeune femme des lors qu’ils l’apercevaient. Barbara n’y attachait pas beaucoup d’importance et ne se souciait guère de ses prétendants jusqu’à un soir de décembre, où elle fut invitée à une réception au domaine des Delairme. Là elle fut introduite à l’aîné des fils de la maison et héritier du domaine, Richard Delairme. Il suffit d’un regard et d’un sourire échangés pour que leur vies s’en trouvent à jamais scellées par cet indestructible lien qu’on appelle l’amour. Les deux jeunes gens se marièrent un an après leur rencontre et s’installèrent tous deux, malgré la désapprobation de Barbara, au manoir des Delairme, avec le reste de la famille qui ne se séparait jamais. Mais bientôt, le père de Richard, alors l’actuel chef de la maison, vint à mourir et le tout jeune marié hérita de l’ensemble du domaine et de la direction de la famille.

Un an après leur mariage, Barbara mit au monde un magnifique petit garçon prénommé Paul. Heureux présage pour la famille car le petit être constituait la pérennité de leur dynastie. Le ménage était joyeux et la famille Delairme vivait là ses meilleurs moments depuis la perte de leur noblesse au XVIème (il faut bien l’avouer, cet « incident » constituait, constitue et constituera toujours une infamie, une injustice et une traîtrise pour eux). Barbara donna ensuite naissance à une petite fille rousse, Aurore, puis à une petite brune, Elizabeth avant de donner la vie, dix ans après la naissance de Paul, à une Delairme, Kathryn, jeune fille pleine de vie.

Kathryn était extrêmement belle. On disait que Dame Nature s'était plus particulièrement penchée sur son berceau que sur celui de ses frères et soeurs. A son grand bonheur, elle devint très vite la seule fille de la famille. En effet, les autres furent délaissés, au point même de les faire abandonner au Beau Château, dans l'ancien domaine des Delairme, durant un petit voyage.
L'on ne sait point ce qui se passa durant l'adolescence de la jeune femme, et l'on ne le saura sûrement jamais. L'on entendit parler d'elle qu'au moment où elle se maria avec le très célèbre (... ?), bourgeois anglais propriétaire de plusieurs grands hôtels et restaurants, à présent légués à ses enfants, (... ?). Quant à elle, elle fit une ascencion fulgurante dans le monde de la mode, passant de mannequin à gérante d'une revue et d'une agence de mannequinat. A la mort de son époux, elle laissa tomber sa carrière, il y a de ça un an.

IV. Profil physique
Style vestimentaire : Le style vestimentaire de Kathryn est extrêmement respecté et envié de toutes les femmes misérables qui rêveraient de faire leur apparition dans une revue de mode, ou de devenir riches. Fervente utilisatrice des produits de marque, tels que Gucci, Dolce & Gabbana, Dior, Prada, et autres, vous ne la verrez jamais sortir sans eux - passant de son sac gris jusqu'à ses magnifiques lunettes de soleil (même l'hiver).
Sa garde robe ne se compose que de vêtements chics, glamours et class. Ses divers manteaux à fourures s'alliant parfaitement avec ses milliers de paire de chaussures, toutes à talons, allant du blanc neige au noir des ténèbres.
Manies : Aucunes

V. Player
Avatar : Meryl Streep.
Fille ou garçon : A man !
Comment avez-vous connu le forum ? J'étais un ancien, Thalie Scofield. Pookie m'a laissé aucune trace, je trouvais pas ses nouveaux forums XD la michante ! Et puis par hasard, dans les top-sites, j'ai vu que Hot Couture était remonté...
CODE :

Spoiler:

Vous désirez signaler quelque chose : Naaah =P enfin si. Quel poste (hairpay = RP) je pourrais avoir, s'teuplé ? Un truc qui convienne à ma vieille femme de goût =)... Genre Directrice d'une Agence de Mannequinat.

AU DIABLE LES PETITES MINETTES SEXY ET ARROGANTES, PLACE AUX GRANDES DAMES
ET A L'ORIGINALITE, SANS QUI LA MODE NE SERAIT RIEN AUJOURD'HUI.
THE DICTATOR COME BACK =)