Nom : Scofield.
Prénom(s) : Thalie Diane Circée.
Surnom(s) : Thal', Tata, Scoff.
Âge : 20 ans.
Date et lieu de naissance : Thalie est née le 21 décembre 1986, le jour du solstice d'hiver, par une nuit froide et sombre à Londres.
Histoire : L’histoire des Scofield remonte aux fondements même de la nation anglaise. A cette époque révolue où elle était encore puissante et crainte, la famille de Scofield, comme elle était encore nommée alors, possédait l’un des plus grands duchés d’Angleterre et régnait en maître sur le domaine de Pearl Castle. Leur pouvoir leur provenait, croyait-on, de leur étroit lien avec la famille royale. En effet, bien que toujours dans l’ombre, les Scofield avaient une grande emprise sur les dirigeants du pays, les conseillant sur les décisions à prendre. Eminence grise du pouvoir, immensément riche, craint par tous, la famille Scofield cachait en réalité un incroyable secret : depuis toujours, elle arnaquait et menaçait, et c’est ce qui lui permettait de tenir les ficelles du pouvoir. L'un des premiers d'entre eux, William de Scofield est même soupçonné d’avoir tué le premier Roi d'Angleterre, puis de l’avoir enseigné à ses descendants afin de poursuivre leurs obscurs desseins.
Les Scofield auraient pu continuer leur ascension vers la gloire et la renommée éternelle si sur leur chemin, ils n’avaient pas rencontré ces maudits chiens galeux de la famille d’Arbanville. Au XVIème siècle, cette famille de malheur arriva en effet sur le territoire américain et gravirent très vite les échelons jusqu’au pouvoir. Pas plus talentueux que les Scofield, les d'Arbanville avaient cependant un avantage de poids : la communauté politique américaine les soutenait, satisfaite de pouvoir se débarrasser de leurs sombres semblables. Et c’est ainsi que le duc d’Arbanville parvint à convaincre le Roi d'Angleterre de déposséder les Scofield de leurs terres et de leurs titres. Ils devinrent des moins que rien, des rebuts de la société qui n’avaient gardé de leur ancienne grandeur que l’orgueil, la haine des faibles, l’ambition mais aussi le courage et la volonté de redevenir grand par tous les moyens. La famille s’installa dans un petit cottage du Devonshire, dans le sud-ouest de l’Angleterre et on entendit plus parler d’elle pendant plus de trois siècles.
En réalité, loin de se morfondre, les Scofield, pendant ces trois cent ans d'exclusion, préparaient leur retour dans une haine profonde des d'Arbanville et de toute les grandes familles de la communauté politique qui les avaient trahis. Conscients qu'ils ne pourraient plus user de leurs manigances et de leur persuasion aussi librement et impunément qu'autrefois, ils décidèrent de redevenir une famille puissante honnêtement. Ou du moins, honnêtes à leur manière... Il leur fallut tout d’abord, afin de récupérer une place importante dans la société bourgeoise du XIXème siècle, acquérir à nouveau une immense fortune, puisqu’au XVIème, on les avait dépossédés de tout. Le chef de la famille Scofield inventa alors un système aussi ingénieux que tout à fait illégal : les meilleurs d’entre eux s’introduisaient masqués et inconnaissables, par effraction dans les domaines des Politiciens et volaient des reliques et tout autres objets de grande valeur. Puis, ils revendaient ces objets, toujours masqués et anonymes, à d’autres politiciens à prix d’or. Bientôt, ils firent également du recel d’objets d’art pour le compte des Anglais. Ces activités n’étaient sans doute pas dignes d’eux mais au moins avaient-elles l’avantage d’être extrêmement lucratives. Pour cacher l’origine de sa soudaine fortune, le duc de Scofield (car pour eux, ils étaient toujours ducs et duchesses… et continuent encore de nos jours entre eux à s’appeler "de Scofield" ) décida d’inventer l’existence d’un petit pécule qu’il aurait fait fructifier en investissant dans les chemins de fer. Il s’arrangea, en soudoyant un anglais, pour que son nom apparaisse sur les traites, contrats et autres papiers importants qui attestaient de son investissement et de ses bénéfices colossaux.
Et c’est ainsi que les Scofield revinrent en grâce aux yeux du monde politique qui à l’époque ne se souciait guère de la réputation et de l’histoire des familles du moment qu’elles étaient riches et pouvaient organiser réceptions sur réceptions. Seuls les d’Arbanville, comme toujours drapés dans leurs soucis de pureté, de bonté et d’honnêteté, soupçonnèrent quelque tractations illégales mais ne purent jamais formellement le prouver. Dans ce monde nouveau qui se voulait civilisé et pacifique, du moins en apparence, la compétition entre les familles ne devaient plus se compter en nombre de morts dans les duels politiques mais en nombre de pièces d’argent, d’amis hauts placés, d’enfants talentueux et de fêtes les unes toutes plus démesurées que les autres. La fin du XIXème et la majeure partie du XXème siècle furent donc une période bénie pour la famille qui, sans avoir cependant retrouvé sa grandeur du passée, était néanmoins riche et estimée dans tout le monde.
C’est au début des années 50 que le 20ème duc de Scofield, Seamus, rencontra celle qui devait devenir son épouse, Barbara, fille de Liv et Täel Woodcarver des bourgeois de Londres qui avaient fortune dans les meubles. Barbara était sans doute une des plus belles de femme de sa génération. De sa mère, elle avait hérité la fougue, les yeux verts aux reflets bleus et les cheveux roux flamboyants. De son père, l’humour, la vivacité d’esprit, la grande taille, et le sourire charmeur. Barbara était un subtil et explosif mélange de ces deux personnes et bon nombre d’hommes tombaient instantanément amoureux de la jeune femme des lors qu’ils l’apercevaient. Barbara n’y attachait pas beaucoup d’importance et ne se souciait guère de ses prétendants jusqu’à un soir de décembre, où elle fut invitée à une réception au domaine des Scofield. Là elle fut introduite à l’aîné des fils de la maison et héritier du domaine, Seamus Scofield. Il suffit d’un regard et d’un sourire échangés pour que leur vies s’en trouvent à jamais scellées par cet indestructible lien qu’on appelle l’amour. Les deux jeunes gens se marièrent un an après leur rencontre et s’installèrent tous deux, malgré la désapprobation de Barbara, au manoir des Scofield, avec le reste de la famille qui ne se séparait jamais. Mais bientôt, le père de Seamus, alors l’actuel chef de la maison, mourut et le tout jeune marié hérita de l’ensemble du domaine et de la direction de la famille.
Un an après leur mariage, Barbara mit au monde un magnifique petit garçon prénommé Dorian. Heureux présage pour la famille car le petit être constituait la pérennité de leur dynastie. Le ménage était joyeux et la famille Scofield vivait là ses meilleurs moments depuis la perte de leur noblesse au XVIème (il faut bien l’avoue, cet « incident » constituait, constitue et constituera toujours une infamie, une injustice et une traîtrise pour eux). Barbara donna ensuite naissance à une petite fille rousse, Liv, puis à une petite brune, Elinor avant de donner la vie, dix ans après la naissance de Dorian, à une Scofield, Thalie, jeune fille pleine de vie.
Thalie était extrêmement belle. On disait que Dame Nature s'était plus particulièrement penchée sur son berceau que sur celui de ses frères et soeurs. A son grand bonheur, elle devint très vite la seule fille de la famille. En effet, les autres furent délaissés, au point même de les faire abandonner à Pearl Castle, dans l'ancien domaine des Scofield, durant un petit voyage.
Quelques mois plus tard, la famille Scofield, composée du père, de la mère et de leur fille dite "unique", Thalie, partit alors s'installer aux Etats-Unis dans l'Upper East Side.
Depuis, la jeune fille vit dans le luxe et le confort et ne se prive pas des joies de vivre. Elle "s'éclate", sort, fait la fête, "baise", bref, elle batifole grandement avec ses ami(e)s, mais elle passe pour une petite fille sage devant ses parents. S'ils savaient...
Particularité(s) : Thalie a un charme exceptionnel. On la considère souvent comme une fille facile, alors que c'est tout le contraire. Pourtant elle change de petit ami toutes les semaines et aime batifoler. Elle ne sort jamais de chez elle sans maquillage. Pour elle, le physique prime avant tout.
Caractéristique(s) : Thalie n’est pas une personne à proprement parler de recommandable. Elle choisit de faire le mal pour le mal, gratuitement, et de le réaliser méthodiquement et avec froideur. Il n’y a pas un de ses gestes, une de ses actions qui ne soient dictées par un sombre dessein et il vaut mieux ne pas lui être redevable de quoi que ce soit car le prix à payer pourrait bien se révéler exorbitant. Au point même d’en souffrir moralement.
Dotée d’une intelligence hors normes, elle semble capable de deviner la moindre des pensées de ses interlocuteurs. Ne réside là dedans nulle magie mais simplement une aptitude hors du commun à juger ses semblables et à deviner les parties obscures que cachent leur âmes.
C’est une jeune femme à la grande habilité. Elle sait mentir quand il le faut, et est franche, même peut-être un peu trop, envers les personnes qu’elle n’apprécie guère.
Froide et parfois arrogante, elle ne se laisse pas faire et encore moins marcher sur les pieds. Si un élève ou un professeur a le malheur de la titiller un peu trop, elle s’emporte et dévaste tout sur son passage.
De nature lunatique, elle change souvent d’humeur, d’une heure à l’autre, suivant les cours qu’elle suit dans la journée, ou suivant les personnes qu’elle rencontre.
Pourtant, elle aime fréquenter les filles du même genre qu’elle, c’est-à-dire les filles branchées, sexy, séductrices et un poil extraverties, avec du caractère. Dans le cas contraire, elle remet vite en place les filles plus moches qu’elle, ce qui est souvent le cas d’ailleurs, ou un peu trop sure d’elle.
Thalie a une grande force morale et sait se placer où il faut, quand il faut.
Sa plus grande fierté est d’être une fille de riche.
Apparence : Comme toutes les jeunes filles nées avec une cuillère en or dans la bouche, Thalie est dotée d’une extraordinaire beauté, mais les fées semblent s’être penchées plus particulièrement sur son berceau. En effet, elle irradie de splendeur avec sa peau soyante et blanche. Ses yeux sont d’une couleur bleutée, exceptionnellement charmeurs et perçants, tels ceux des félins. Ils ressemblent à du cristal, et change de couleur les nuits de pleine lune, pour devenir cyan, presque blanc.
Thalie a des cheveux d’un blond éclatant, coupés court. Ils arrivent au niveau de son coup et son souvent bien coiffés. La jeune femme n’aime pas sortir sans une touche de maquillage, elle pense que le physique prime avant tout et fait la réussite populaire chez certaines filles, dont elle. Aimant être sexy et regardée par les garçons, elle les provoque souvent et aime jouer avec les sentiments. Pourtant, elle n’est pas vraiment vue comme une fille facile.
Dès l’âge de 10 ans, elle commençait déjà à changer de petit ami toutes les semaines. Et au fur et à mesure, elle batifolait, jouant avec les hommes, chaque jour…
C’est alors à son entrée à Harvard qu’elle se calma, mais continua à provoquer, afin que les garçons la drague.
Le style de Thalie est très respecté et envié par toutes les autres filles, qu’elles soient moches ou… moches, car pour la jeune fille, aucune autre n’est plus belle qu’elle… Elle s’habille chic, profitant de ses atouts de Vélane, dont elle les a hérité de sa mère. Son père étant français, elle aime la mode française. Elle pense qu’elle est plus évoluée que la mode Américaine.
Vous ne verrez jamais Thalie sans marque, ou sans vêtements de luxe. Ni même sans qu’elle porte de parfum, français qui plus est, et extrêmement cher.
Nom de la personne de l'avatar : Elisha Cuthbert.
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