Un peu de testostérone dans ce monde de talons aiguilles qu'est votre EnJoY, j'ai pu remarquer à moult reprises que nos chères demoiselles de l'upper aimaient plus le shopping que le sport.
Ai-je été étonné? Point du tout: l'étonnement est réservé à ceux qui se lèvent en même temps que la lune...
Sont ils nombreux? Il faut croire que oui étant donné que nos chères boites New Yorkaises sont plus remplies que les égouts ne regorgent de rats.
Mais lequel des deux est le plus répugnant? Personnellement, je n’y ai jamais mis les pieds en cinq ans de vie dans Big Apple. Je n’aime pas particulièrement me retrouver au milieu de gens en sueur et la danse ne fait pas partie de mes passions majeures. Vous pourrez me trouvez au
Fish par contre, je ne dis jamais non à une vodka...
Mais appuyons nous sur les
lieux plus intéressants... De mon point de vue. Connaissant les moeurs de nos chères lectrices, je me contenterai de vous donner ce petit conseil si vous êtes en mal d’amour: fréquentez plus de lieux non pas culturels, car il semblerait que ça ait des chances de nuire à votre pseudo réputation, mais plutôt au Madison. N’étant pas spécialement amateur de sports, vous ne m’y trouverez que très rarement... Sauf lors de match. Mais je m’y suis rendu récemment...
Madison Square Garden
Il ne semble pas y avoir que des écervelées dans l’upper; on y trouve aussi des paranoïaques. Du moins si l’on considère le point de vue de certains.
Toujours est il que deux jeunes filles dont le physique est certes avantageux, mais dont l’esprit reste sur la touche, on balancé du coca-cola dans l’entrejambe d’un brave homme qui regardait le match. Vous voulez des noms? L’éthique l’interdit, le journal s’en contrefiche; il s’agissait, selon mes sources, d’une certaine
Blondie, et de son amie
Kate. Jolie Kate d’ailleurs. Et la première citée porte bien son nom. J’ai d’ailleurs entendu dire qu’elle souffrait d’hystérie mentale et avait besoin de prendre quelques cachets pour garder toute sa tête. D’ou la réaction... L’homme visé était un homme d’une quarantaine d’années, père de famille qui a un problème de la lèvre supérieure datant d’une de ces guerres sordides, ce qui lui donne l’air de sourire... Je l’ai d’ailleurs interrogé suite au conflit: certes, il regardait les deux demoiselles, mais c’est uniquement parce que l’une d’elle lui rappelait sa chère fille disparue depuis deux ans. Pauvre homme... Nos lectrices sont, je l’espère, de tout coeur avec vous!
Un petit tour d’horizon avec le
Max Fish, mon bar favori:
Malheureusement pour vous, chères demoiselles, il vaut mieux éviter de le fréquenter si vous êtes une accro aux Bellinis et autres Cosmo: personnellement accro à des boissons un peu plus fortes, je ne puis vous conseiller ce lieu ou la plupart des présents sont accro à la bière brune et semblent sortis de l’enfer.... L’on raconte que je vous raconte ça pour éviter de voir débarquer une bande de fashion victime en Jimmy quelque chose... (pourquoi est ce que je n’écoute jamais mes ex?) mais l’on raconte que des bagarres arrivent régulièrement en fin de soirée. Je n’en ai jamais connue aucune, puisque je vous consacre mes soirées tendres lectrices...
Je terminerai ma chronique en vous laissant le proverbe du jour: « Il y a des fleurs partout pour qui veut bien les voir » d’un peintre assez connu, Henri Matisse... Et quelque chose me pousse à butiner les roses que vous êtes, ô filles de l’upper, même si vous êtes quelques fois hors de raison...
DS